Voici la dernière interprétation d'Alexendra à la fenêtre
dimanche 23 septembre 2007
jeudi 20 septembre 2007
Paul AUSTER : l'invention de la solitude
Je viens de finir le livre et pour tout dire je suis plutôt déçue.
La première partie traite plus de l'absence que de la solitude. Elle est superbe. Les personnages sont profonds, leurs sentiments magnifiquement exprimés. L'errance affective, la recherche, la rencontre; tout le monde peut trouver quelque chose qui alimente sa réflexion. Il est pourtant dommage, à mon sens, que le mystère soit dévoilé en expliquant les raisons traumatisantes qui ont amené la construction du personnage paternel.
Quant à la deuxième partie, elle est illisible ! Il semble surtout s'agir d'une compilation de notes en vue d'un essai qui n'a jamais été écrit. Alors pourquoi l'avoir publié ?
La première partie traite plus de l'absence que de la solitude. Elle est superbe. Les personnages sont profonds, leurs sentiments magnifiquement exprimés. L'errance affective, la recherche, la rencontre; tout le monde peut trouver quelque chose qui alimente sa réflexion. Il est pourtant dommage, à mon sens, que le mystère soit dévoilé en expliquant les raisons traumatisantes qui ont amené la construction du personnage paternel.
Quant à la deuxième partie, elle est illisible ! Il semble surtout s'agir d'une compilation de notes en vue d'un essai qui n'a jamais été écrit. Alors pourquoi l'avoir publié ?
samedi 15 septembre 2007
A voir
A propos de Chicago
vendredi 14 septembre 2007
mardi 11 septembre 2007
Petit moment de poésie
Les images sont des rêves.
Ils existent indépendamment du temps.
Ainsi peut-on peindre l'avenir.
Ils existent indépendamment du temps.
Ainsi peut-on peindre l'avenir.
Tim Johnson
dimanche 9 septembre 2007
samedi 8 septembre 2007
jeudi 6 septembre 2007
dimanche 2 septembre 2007
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